Fruit de la Révolution et du Consulat, le Code civil donne les bases légales sur lesquelles doit s'appuyer la nouvelle France.
Son article 213 affirme : "Le mari doit protection à sa femme et la femme obéissance à son mari"
En revanche, la veuve jouit, en théorie, de la plénitude de ses capacités juridiques, droit de vote exclu. En effet, la veuve ayant eu des enfants reste surveillée par un Conseil de famille composé de membres de la famille de son mari.
Napoléon, en homme de son temps, n’est pas franchement sensible à la cause féministe ; il déclare " je n’aime pas les femmes qui se mêlent de politique ".